Aller au bout du monde
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Aller au bout du monde
Aller au bout du monde
Je serai pour toi qu’un tout petit matelot
Hissant les voiles quand soufflera le vent
Naviguant lentement dans les forts courants
Un marin intrépide voguant sur ces eaux
Dans cette immensité sans voir l’horizon
Sur ce frêle voilier qui glisse sur les vagues
Laissant loin derrière lui une mince trace
Comme douces caresses que se font les amants
Avant que le vent et la tempête ne s’élèvent
Nous aurons déjà vécus de folles sensations
Nos corps seront bien accrochés à l’unisson
Et nos tendres baisers feront montés la fièvre
Chanter la mélodie et répéter les notes douces
Vivre ces moments de passion avec nos désirs
Les pensées seront là, pour nous faire frémir
De ces délices d’être enlacer tel des êtres fous
La houle nous bercent, l’amour nous transportent
Les hautes crêtes viennent ainsi nous submerger
Nous apportent les plaisirs d’aimer à nous noyer
De ce temps de vie ou nos cœurs ouvrent la porte
Sous la lune blanche des nuits nous rêverons
Et la lumière des étoiles fera briller nos yeux
Jusqu'au lever du jour tout sera merveilleux
Sur cette mer lointaine, nous nous aimerons
Altaïr
On ne vit que de rêves, mais on meurt de réalité
Je serai pour toi qu’un tout petit matelot
Hissant les voiles quand soufflera le vent
Naviguant lentement dans les forts courants
Un marin intrépide voguant sur ces eaux
Dans cette immensité sans voir l’horizon
Sur ce frêle voilier qui glisse sur les vagues
Laissant loin derrière lui une mince trace
Comme douces caresses que se font les amants
Avant que le vent et la tempête ne s’élèvent
Nous aurons déjà vécus de folles sensations
Nos corps seront bien accrochés à l’unisson
Et nos tendres baisers feront montés la fièvre
Chanter la mélodie et répéter les notes douces
Vivre ces moments de passion avec nos désirs
Les pensées seront là, pour nous faire frémir
De ces délices d’être enlacer tel des êtres fous
La houle nous bercent, l’amour nous transportent
Les hautes crêtes viennent ainsi nous submerger
Nous apportent les plaisirs d’aimer à nous noyer
De ce temps de vie ou nos cœurs ouvrent la porte
Sous la lune blanche des nuits nous rêverons
Et la lumière des étoiles fera briller nos yeux
Jusqu'au lever du jour tout sera merveilleux
Sur cette mer lointaine, nous nous aimerons
Altaïr
On ne vit que de rêves, mais on meurt de réalité
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