Du livre des mémoires 2
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Du livre des mémoires 2
Du livre des mémoires 2
Celle qui n’a pas voulu m’aimer
Que signifiait vraiment pour toi ce beau mot, MÈRE
Était-il juste comme un autre, un simple symbole
Une parole lancée au loin telle une petite pierre
Dans la rivière de la vie sans amour, sans un mot
Comme tous les enfants j’aurais bien aimé avoir
La tendresse, la douceur, et beaucoup d’amour
Mais toi tu étais là sans même un instant me voir
J’étais pour toi un fardeau encore bien trop lourd
Dés ma venue au monde pour toi je n’étais rien
Et j’étais en somme qu’un petit rejet de naissance
Me faire passer d’un lieu à un autre quel destin
En brisant tous ces liens sans une reconnaissance
Et tu n’as pas voulu à un seul moment me donner
Dans cette vie la tendresse que j’attendais toujours
Aujourd’hui est un jour où je peux à présent rêvé
Ou je pourrais enfin aimer et être aimé en retour
Maintenant tu n’es plus et je sens que je me libère
De ces maux qui trop longtemps m’ont fait si mal
Tu es partie dans l’autre monde mais ça m’indiffère
De ma mémoire à cet instant tout de toi s’effacera
Je chante à présent pour toi un des plus triste Requiem
Avec des notes lugubres d’une harmonie la plus sombre
Une musique qui t’entraineras et te conduira en enfer
Tu ne seras plus rien même le semblant d’une ombre
Des psaumes noirs tu n’entendras pas un seul Dies irae
Et mes grands éclats de voix seront tous des fou-rire
Que ton âme s’en aille trouver le diable à tout jamais
Je ne peux te les dire mes mots mais je vais les écrire
Sans prendre le temps pour toi et aller me recueillir
Dans ce lieu ou pousseront toutes les herbes folles
Ces fleurs qui ont séchées et qui ressemblent à ma vie
Je laisse ainsi mourir mes pensées aux vents d’automne
Plus rien ne sera pour toi, je pourrais enfin oublie
Pas un seul Alléluia ne viendra pour te ressusciter
Altaïr
Celle qui n’a pas voulu m’aimer
Que signifiait vraiment pour toi ce beau mot, MÈRE
Était-il juste comme un autre, un simple symbole
Une parole lancée au loin telle une petite pierre
Dans la rivière de la vie sans amour, sans un mot
Comme tous les enfants j’aurais bien aimé avoir
La tendresse, la douceur, et beaucoup d’amour
Mais toi tu étais là sans même un instant me voir
J’étais pour toi un fardeau encore bien trop lourd
Dés ma venue au monde pour toi je n’étais rien
Et j’étais en somme qu’un petit rejet de naissance
Me faire passer d’un lieu à un autre quel destin
En brisant tous ces liens sans une reconnaissance
Et tu n’as pas voulu à un seul moment me donner
Dans cette vie la tendresse que j’attendais toujours
Aujourd’hui est un jour où je peux à présent rêvé
Ou je pourrais enfin aimer et être aimé en retour
Maintenant tu n’es plus et je sens que je me libère
De ces maux qui trop longtemps m’ont fait si mal
Tu es partie dans l’autre monde mais ça m’indiffère
De ma mémoire à cet instant tout de toi s’effacera
Je chante à présent pour toi un des plus triste Requiem
Avec des notes lugubres d’une harmonie la plus sombre
Une musique qui t’entraineras et te conduira en enfer
Tu ne seras plus rien même le semblant d’une ombre
Des psaumes noirs tu n’entendras pas un seul Dies irae
Et mes grands éclats de voix seront tous des fou-rire
Que ton âme s’en aille trouver le diable à tout jamais
Je ne peux te les dire mes mots mais je vais les écrire
Sans prendre le temps pour toi et aller me recueillir
Dans ce lieu ou pousseront toutes les herbes folles
Ces fleurs qui ont séchées et qui ressemblent à ma vie
Je laisse ainsi mourir mes pensées aux vents d’automne
Plus rien ne sera pour toi, je pourrais enfin oublie
Pas un seul Alléluia ne viendra pour te ressusciter
Altaïr
Re: Du livre des mémoires 2
très chèr Altair
il est si bon de pouvoir sortir de son âme se que l'on ressent et oui il y a des parents abominables qui ne méritent pas leurs enfants mais voila on ne choisit pas sa famille on la subit malheureusement et oui l'enfer existe et y sont à présent sans recours possible pour eux et leurs méchancetés
je suis de tout coeur avec toi
Affectueusement
YDOLE
il est si bon de pouvoir sortir de son âme se que l'on ressent et oui il y a des parents abominables qui ne méritent pas leurs enfants mais voila on ne choisit pas sa famille on la subit malheureusement et oui l'enfer existe et y sont à présent sans recours possible pour eux et leurs méchancetés
je suis de tout coeur avec toi
Affectueusement
YDOLE
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