Jours de mélancolie
Page 1 sur 1
Jours de mélancolie
Jours de mélancolie
Ces mots de mélancolie trop durs parfois
Sortent de notre maigre et petit carquois
Ils viennent profondément nous blesser
En transperçant le cœur à l’ensanglanter
Dans leur subtilité, ils nous confondent
Pour atteindre nos racines profondes
Nous plongent dans une grande solitude
A nous faire vivre dans une servitude
Ils arrivent comme des sons incongrus
En rendant notre esprit souvent confus
Pourtant nous cherchons cette évasion
De nos rêves que nous faisons à profusion
Ceux que l’on fait de tendresse de vie
Malgré nos espoirs, ils sont bien enfouis
Tous ces instants qu’on trouve merveilleux
Passe hélas ! Trop vite devant nos yeux
Ils se transforment vite avec les images
Glissent tel un fantôme sous les pages
Chacun d’eux apporte quelques couleurs
Qui coule avec le temps au fil des heures
Ces pensées, nous hantent, nous bouscules
Nous arrivent telles les vagues sur la lagune
Sans répit s’entremêlent fuient aux vents
Nous laissant seul avec nos tourments
Sans un arrêt viennent nous harceler
Pauvres êtres qui voulons tant aimer
Chaque pas dans ce labyrinthe de l’effroi
Nous jetent tel un fétu dans les beffrois
Marcher en allant à l’autre bout du monde
Pour trouver une main et faire cette ronde
Avec nos pensées d’être aimé bien des fois
Même s’il faut mourir d’amour de nos émois
Découvrir à nouveau cette chaleur humaine
Qui peut rendre à l’âme une vie sereine
En récitant des psaumes et les oraisons
Qui ne nous feront pas perdre la raison
Courir au fond des bois à travers les monts
Cueillir la fleur d’amour aux tendres chants
Seulement écouter les mots qui rassurent
Telle l’eau calme du ruisseau qui murmure
Des années écoulées renaît la nostalgie
Où nos rêves d’enfant se sont évanouis
Nous berçant d’une grande tendresse
Éloignant nos maux et notre tristesse
Les vents depuis ce temps ont tout balayés
Et ce qui nous restent, des rêves émiettés
Dans ce brouhaha seule demeure la passion
Gravée dans notre mémoire pour longtemps
Altaïr
Ces mots de mélancolie trop durs parfois
Sortent de notre maigre et petit carquois
Ils viennent profondément nous blesser
En transperçant le cœur à l’ensanglanter
Dans leur subtilité, ils nous confondent
Pour atteindre nos racines profondes
Nous plongent dans une grande solitude
A nous faire vivre dans une servitude
Ils arrivent comme des sons incongrus
En rendant notre esprit souvent confus
Pourtant nous cherchons cette évasion
De nos rêves que nous faisons à profusion
Ceux que l’on fait de tendresse de vie
Malgré nos espoirs, ils sont bien enfouis
Tous ces instants qu’on trouve merveilleux
Passe hélas ! Trop vite devant nos yeux
Ils se transforment vite avec les images
Glissent tel un fantôme sous les pages
Chacun d’eux apporte quelques couleurs
Qui coule avec le temps au fil des heures
Ces pensées, nous hantent, nous bouscules
Nous arrivent telles les vagues sur la lagune
Sans répit s’entremêlent fuient aux vents
Nous laissant seul avec nos tourments
Sans un arrêt viennent nous harceler
Pauvres êtres qui voulons tant aimer
Chaque pas dans ce labyrinthe de l’effroi
Nous jetent tel un fétu dans les beffrois
Marcher en allant à l’autre bout du monde
Pour trouver une main et faire cette ronde
Avec nos pensées d’être aimé bien des fois
Même s’il faut mourir d’amour de nos émois
Découvrir à nouveau cette chaleur humaine
Qui peut rendre à l’âme une vie sereine
En récitant des psaumes et les oraisons
Qui ne nous feront pas perdre la raison
Courir au fond des bois à travers les monts
Cueillir la fleur d’amour aux tendres chants
Seulement écouter les mots qui rassurent
Telle l’eau calme du ruisseau qui murmure
Des années écoulées renaît la nostalgie
Où nos rêves d’enfant se sont évanouis
Nous berçant d’une grande tendresse
Éloignant nos maux et notre tristesse
Les vents depuis ce temps ont tout balayés
Et ce qui nous restent, des rêves émiettés
Dans ce brouhaha seule demeure la passion
Gravée dans notre mémoire pour longtemps
Altaïr
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|